Les "vaches" de Mafate
Cirque de
Paradis, où mon âme et mes yeux
Retrouvent un Eden, où les
monts glorieux
Érigent dans l’air bleu leurs cimes immortelles
!
Ô cirque, qui
confonds le laid et la splendeur,
Pour toi seul, s’uniront,
battant comme des ailes,
Éperdument, mon sang, mon esprit et mon
cœur !
Elie FrançoisLéonce Louis Ozoux
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